La surprise de toi.
Bien plus tard,
Ta main, délicate,
Qui enlève un quelque chose,
Un presque rien de mon blouson.
Comme une vieille ombre qui s’efface,
Un chagrin oublié que tu chasses.
Le silence souple qui scintille,
Teinté d’un subtil regret de se quitter.
Et l’intimité qui finement se déploie
Par ce simple geste délicat de ta main sur moi.
une écriture légère, fraiche, intense, qui glisse à fleur de peau…. J’aime beaucoup ton poème à la saveur délicate et sensuelle…. merci du partage! Francesco.
Francesco, merci de tes mots, vraiment. Ils me touchent beaucoup parce qu’il me semble avoir été reçue avec justesse et simplicité. Ça fait chaud et riche.
C’est beau… à m’en donner frisson subtil 🙂
Et me voilà toute intimidée par tes frissons subtils. J’ai les joues toutes roses maintenant.
^^ 😉
j’aime beaucoup ce texte tendre et léger et chaud comme le soleil du printemps
Héhéhé… entre deux nuages, un petit parfum s’exprime. 🙂
C’est très beau… vraiment. Ton texte m’émeut. .-)
Merci Isa, je suis très touchée. Et moi-même émue.
Ce n’est pas très original, mais moi aussi je trouve ce texte bien beau et je trouve qu’il aurait été bien dommage que je ne le dise pas. Merci pour ce beau cadeau, plein d’espérance et de lumière.
Sobre et délicat, léger comme une plume, à l’image de ce presque rien chassé du blouson..